« À la rentrée des classes, vous vous posez la question sur la nécessité d’assurer votre enfant. Vous avez raison de vous inquiéter parce que l’assurance scolaire est bel et bien nécessaire. Votre enfant peut en effet subir ou faire subir un accident. Il peut être victime d’un malaise. C’est cette couverture sociale qui le prendra en charge dans ces cas-là. »
À chaque rentrée des classes, les parents se demandent toujours s’il est nécessaire d’assurer son enfant. Leur souci est bien fondé car bon nombre d’entre eux ne savent pas trop si la souscription est obligatoire ou facultative. Et surtout, à quoi sert-elle… Sachez alors que l’assurance scolaire sert à protéger les élèves à l’intérieur et à l’extérieur de l’établissement scolaire.
1. L’assurance scolaire : une protection de l’enfant dans l’enceinte de l’école
Certains établissements scolaires recommandent aux parents une assurance scolaire pour leurs enfants. C’est pour leur propre sécurité sociale. Cette assurance prend en charge toutes les dépenses effectuées si, par malheur, l’enfant est victime d’un accident dans l’enceinte de l’école. Cette couverture sociale est valide durant toute l’année scolaire. Elle est constituée de deux cautions, à savoir la garantie responsabilité civile et la garantie individuelle accident. La première est utile quand l’enfant cause un dommage à autrui. La seconde intervient lorsqu’il est la victime.
Le vol et le bris de lunettes font également partie des garanties d’un contrat d’assurance scolaire. Ce genre de situation peut survenir à votre enfant. Alors, il ne faut rien laisser au hasard. Le mieux est de vous préparer à toutes les éventualités !
2. L’assurance scolaire couvre l’enfant lors des sorties scolaires
Souvent, les parents s’inquiètent beaucoup quand leurs enfants participent aux sorties scolaires. Ils n’auront pas l’esprit tranquille si un accident survient à leurs rejetons. Dans un tel cas, ils ne pourront pas assurer directement leur sécurité parce qu’ils seront loin d’eux. C’est dans ce contexte que l’assurance scolaire s’avère importante. Si besoin, elle peut être saisie au cours des activités organisées par l’école : voyages d’études, visites de musées, éducation physique et sportive. Il y a aussi les visites d’industries. Si l’élève assuré est accidenté, victime d’un malaise ou de blessures, l’assurance scolaire peut tout prendre en charge. L’intervention médicale, les frais de secourisme ainsi que toutes les dépenses annexes sont inclus dans le contrat d’assurance.
3. L’assurance scolaire garantit la santé de l’élève
La couverture sociale prend aussi en charge les problèmes de santé de l’enfant à l’école. En particulier, les traitements dentaires comme les appareils et les implants font partie des garanties complémentaires d’une assurance scolaire.
4. Une sécurité pour les activités extrascolaires
L’assurance scolaire ne couvre pas seulement l’enfant à l’intérieur de l’école, mais aussi à l’extérieur, au cours de son trajet menant vers l’école. Il existe toutefois des sorties scolaires qui ne sont pas organisées par l’école. Ces activités, proposées par d’autres entités que l’établissement scolaire (comme les colonies de vacances), visent à épanouir l’enfant. Lorsque votre enfant y participe, il sera pris en charge par l’assurance extrascolaire. Ce type d’assurance est valable en toutes circonstances et pas seulement au cours de l’année scolaire. Il peut aussi protéger votre enfant pendant les vacances.
Ainsi, grâce à l’assurance extrascolaire, vos enfants pourront jouer et s’amuser librement sans restriction ni contrainte durant les vacances. Ce type d’assurance prévoit toujours leur protection sociale. Si un accident ou un malaise survient, cette assurance peut les couvrir à n’importe quel moment. Ce type d’assurance scolaire assure donc la prévoyance sociale de vos enfants aussi bien chez vous qu’à l’école. Pendant la durée de la souscription, il les protège sur la plage et dans n’importe quel lieu.
Pour conclure, sachez que l’assurance scolaire s’arrête au moment où l’assuré commence à travailler. Plus précisément, elle ne couvre plus la personne dès le moment où elle exerce une profession légalement rémunérée.
